Sports

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Un gala pour relancer la boxe régionale 

Janick Émond
Le 29 avril 2022 — Modifié à 10 h 31 min le 29 avril 2022
Par Janick Émond - Journaliste

Les 3 clubs de boxe de la région (Alma, Jonquière et Chicoutimi), s’unissent afin de relancer la boxe au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Ils tiendront ainsi ce samedi 30 avril, à Jonquière, le Gala de la relance régionale.

« Avec Jonquière et Chicoutimi, on s’est uni pour de faire un gala afin de faire boxer le plus d’athlètes possible. On veut leur donner de l’expérience qu’ils prennent de la maturité et évaluer leur progression. Dans les dernières années, ils ont fait beaucoup de gym, et peu de combats », mentionne l’entraineur-chef de l’académie de boxe Le Pugiliste d’Alma, Maxime Dallaire.

Ce sont au total 24 combats qui seront disputés tout au long de la journée.

Lors du gala, l’académie de boxe d’Alma aura 8 boxeurs, Jonquière en aura également 8 et Chicoutimi en aura 7.

À ce nombre s’ajoutera plusieurs autres boxeurs de partout au Québec qui viendront combattre contre les athlètes de la région.

« Ça va être de la boxe de qualité et les amateurs de la région vont pouvoir assister à un super bon gala. »

Importance

Plus le gala approche, plus la fébrilité monte dans les 3 clubs de boxe de la région.

« C’est intense au gym présentement. Il y a beaucoup de fébrilité, surtout qu’on en a quelques-uns qui en seront à leur tout premier combat ce samedi. Comme coach, tout ce que je veux c’est de les voir aller sur le ring et qu’ils performent à 100 % », indique l’entraineur du club de boxe de Jonquière, Hubert Malaison.

De son côté, l’entraineur du club de Chicoutimi, Denis Gravel, rappelle l’importance d’un gala de relance pour la boxe régionale.

« C’est un gala super important. On veut montrer que la boxe est encore très vivante dans la région. Que nous avons un bon calibre aussi et que nous n’avons rien à envier aux autres. On veut faire briller nos boxeurs. Et que les 3 clubs d’ici collaborent comme ça pour un gala, je trouve que ça augure bien pour le futur », dit Denis Gravel.

Hubert Malaison ajoute : « On veut aussi retrouver notre public. On avait l’habitude avant d’avoir 2 ou 3 galas récurant chaque année, avec un public fidèle. On veut ramener les gens assistés à nos galas. Et samedi, ça va être un super bon spectacle. »

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