Des projets d’agrandissement sont dans les cartons pour le Club de tennis intérieur de Saguenay. Avec la popularité grandissante du sport, le club aimerait faire l’ajout de trois nouveaux terrains.  

Le projet n’est encore qu’à ses débuts, mais le club aimerait que le tout se concrétise dans un avenir à moyen ou court terme.  

« On a présentement cinq terrains, mais pour répondre adéquatement à la demande, nous aurions besoin de trois autres terrains », commente le directeur général du Club de tennis intérieur de Saguenay, Jean-Arnaud Poirel.  

Il avance que les démarches sont déjà amorcées, mais le club se bute actuellement à trouver les sous pour réaliser un tel projet.  

À l’heure actuelle, il n’est pas possible de chiffrer à combien pourrait s’élever un tel projet, ni quand les travaux pourraient débuter.  

En santé  

Avec seulement cinq terrains, le club voit sa progression être freinée en raison du manque de disponibilités de terrains. 

Cette année, le club compte 325 membres réguliers, en plus de près de 150 joueurs juniors, 17 jeunes en sport-études, d’une quinzaine de jeunes dans le programme Petits espoirs, ainsi qu’une quarantaine de joueurs non-membres dans les ligues.  

« On a un bassin de joueurs assez grand, mais qui se maintient d’année en année. Avec la pandémie, on a accueilli quand même un lot de nouveaux joueurs. Et grâce à la visibilité de notre sport, et avec les tournois d’envergure que nous avons chez nous, on réussit quand même à gagner quelques nouveaux membres chaque année. C’est pour cette raison que de nouveaux terrains seraient nécessaires. Afin de pouvoir répondre à cette demande grandissante. » 

Pickleball 

D’ailleurs, l’ajout de trois nouveaux terrains pourrait permettre le retour du pickleball au club.  

« On offrait le pickleball avant la pandémie, mais nous avons arrêté avec la covid, et quand nous avons relancé nos activités, on a manqué de disponibilités de terrains. » 

Ainsi, avec trois nouveaux terrains, le club aurait l’intention de ramener cette activité.  

« C’est un sport en très grande demande, et il manque d’endroits pour y jouer. On aimerait beaucoup proposer cette offre à nouveau. »